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L'archétype d'un véhicule aquatique et furtif est le submersible.

Dès le 9ème siècle avant JC, en -844, trois phéniciens auraient fabriqué des outres étanches en peau de bête pour flotter sous la surface du Tigre et chercher du secours lors d'un assaut de Salmanazar III.

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Il est aussi rapporté qu'en 325 av JC, Alexandre le Grand lui même embarqua à bord d'un tonneau étanche qu'il fit construire par ses ingénieurs.
Le tonneau, nommé « Colympha », disposant d'un trou à sa base aurait permit à Alexandre d'observer les fonds marins.
Voir la documentation à ce sujet.


Les questions de la faisabilité de ce véhicule à Ratiatum passe par de nombreux problèmes techniques :

Pour résister à la pression, la structure du sous-marin doit être suffisamment robuste, son étanchéité parfaite. La navigation sous marine devant s'opérer à vue impose la présence d'un hublot, qui indiquerait la présence de verre plat et de systèmes de fermeture adaptés. Sans quoi, d'autres systèmes de guidage doivent être imaginés.
La propulsion sans doute humaine invoque l'utilisation de vis sans fin, ou d'hélices. La gestion de la profondeur par un système de ballast impose l'existence de pompes. Nécessaires également à l'alimentation en air, les pompes conditionnent l'autonomie du véhicule. D'autres questions comme la lutte contre les courants de la Loire ou au contraire leur mise à profit, ou celles de sa mise à l'eau restent toujours en suspens...

Pour avancer sur ces questions, nous avons quelques vestiges des artisanats locaux, dont plusieurs objets pourraient se rapporter à la fantastique conception de ce qui serait alors le premier submersible autonome de l'histoire.

Mais des questions plus simples se posent. Quel type d'information ce véhicule pouvait bien récolter, et s'il ne récoltait aucune information, quel pouvait en être son usage ?

Un commerce discret s'était-il établi entre les deux communes nécessitant un système de navigation secret aussi bien pour les uns que pour les autres ?
Les origines mixtes d'Augusta pourraient aussi laisser penser qu'elle aurait pu entretenir des rapports avec certains Namnètes...
Un échange de savoir faire s'opérait-il via ce dispositif – si jamais il fut un jour terminé?
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